dimanche 22 août 2010

Dis, c'est quoi ton joueur préféré ? (grande suite royale)

Et en bon supporter anglais il a malheureusement tourné hooligan.

ATTENTION l'image qui suit peut choquer les ames sensibles, supporter de Liverpool s'abstenir.



Conseil pour se faire un tatouage à moindre frais : choisir un maillot de sport, de préférence une contrefaçon de piètre qualité, vérifier à l'aide d'une lampe à UV que les UV sont absorbés seulement par les caractères blancs, dorer plusieurs jours au soleil avec la possibilité de changer de coté pour les tatouages bi-faces. And voila !

samedi 21 août 2010

vendredi 20 août 2010

Dis, c'est quoi ton joueur préféré ? (suite)


Demain, on vous montre le dos.

jeudi 19 août 2010

Dis, c'est quoi ton joueur préféré ?

En Turquie un petit garçon nous a accosté par cette question "C'est quoi ton club de foot favori ?" sans autre forme de politesse. Plutot que de répondre directement à cette question, quoi de mieux qu'un petit jeu ? Tout le monde sait que je n'aime que la natation donc la question sera seulement pour Thierry : Quel est le joueur de foot préféré de Thierry ?

Demain, un indice, on vous montre le maillot de face.

vendredi 13 août 2010

Jeu con-court des panneaux III

Troisième panneau, pour DIV points et 3,5 paires de chaussettes.

jeudi 12 août 2010

Jeu con-court des panneaux II

Deuxième panneau, pour 10 lakhs de points et une barquette de frites.

mercredi 11 août 2010

Jeu con-court des panneaux

Souvenir des vacances sur les routes, géniale invention des parents pour occuper les enfants sur les longues distances, le jeu des panneaux n'est plus à présenter. J'avais depuis longtemps une revanche à prendre sur mon frère qui avait remporté la dernière compétition en date, c'est maintenant chose faite, à titre postpubère.

Pourrez vous trouver le pays d'origine de ces quelques panneaux ainsi que leur légende, bien sûr ?

Premier panneau pour 1043 points et 45 centimes.

lundi 9 août 2010

Trouble Kurdistan

Un lecteur avisé du Monde aura placé la barre plus haute, mais nous avons déjà pu dénombrer quatre attentats attribués aux séparatistes kurdes (soit au Parti des Travailleurs du Kurdistan -PKK- soit aux Faucons de la liberté du Kurdistan, organisation peu connue, affiliée au PKK ou composée d'anciens radicaux en désaccord avec feu le cessez-le-feu du PKK, on ne sait pas bien). Ils interviennent après une accalmie ayant duré plusieurs années.


Le moins que l'on puisse dire est que la population turque non kurde apparaît assez tendue sur le sujet. On nous demande parfois de ne même pas nommer la région (que certains appelent "Turquie des montagnes"), alors que les magazines ou la télévision couvrent largement le sujet. L'impression ressort que les Turcs font encore la différence entre combattants du PKK et Kurdes normaux -quand on liste les villes traversées, les gens ne tiquent que sur une seule, Hakkari, vers où se cacheraient lesdits combattants. Même si, comme souvent aux frontières ethniques, les premières campagnes turques traversées (à l'ouest de Malatya pour les turcophiles) clamaient bien fort leur appartenance ethnique, et semblaient ne pas trop porter les Kurdes dans leurs coeurs.

Au Kurdistan, turc comme iranien, nombreux sont les gens croisés qui s'affirmaient kurdes avant tout, qui regardaient une des nombreuses chaînes de télévision pan-kurde ou qui enviaient un peu l'autonomie des Kurdes irakiens. En revanche, personne ne nous a parlé de lutte armée...heureusement ! Mais nous sommes passés avant ce réveil terroriste, et les (at)tensions n'étaient probablement plus focalisées sur le PKK.


Il paraît un peu étonnant que l'identité et la langue kurde aient si bien survécu ans un pays centralisateur comme la Turquie, où les journaux et télévisions en langue kurde sont autorisés depuis moins de dix ans. Ca peut vouloir dire qu'ils "méritent" l'indépendance. Mais on peut comprendre que Iran, Turquie comme Irak tiennent à garder leur part du Kurdistan, qui est vraiment le château d'eau de la région -Tigre et Euphrate entre autres y prennent leur source.

Pour de simples touristes comme nous, le Kurdistan a été une région fabuleuse. Les montagnes sont magnifiques, les villages souvent jolis et les habitants très accueillants, malgré leurs abords de montagnards parfois un peu rudes.

mercredi 4 août 2010

Mot bonus

Le dernier mot était INFINITIV, les N ne sont pas tout à fait à la même place.


Bravo à tous et en cadeau une dédicace explosive d'un illustre habitant de Herceg Novi.

dimanche 1 août 2010

Ya un peu d'graisse, j'vous la mets quand même ?






Malgré des conseils répétés d'opter pour la Bulgarie, on pensait quand même visiter un peu la Grèce, au moins longer la côte nord de la mer Egée jusqu'à Thessalonique. Un cycliste allemand aura eu raison de notre entêtement à 30 km de la frontière : la route est horrible, voitures et camions y frôlent à grande vitesse le cycliste sans défense ; il en a d'ailleurs jeté sa carte de la région en se jurant de ne plus jamais s'y aventurer. En plus Thessalonique est bâtie sur un marais, apportant ses sympathiques odeurs et ses moustiques. Les mauvaises nouvelles étant confirmées au poste frontière par un douanier français en coopération, on ne restera donc pas plus de 24h chez les Hellènes, s'échappant presque de suite vers la Bulgarie.



24h sont pourtant suffisant pour voir quelques différences avec la Turquie voisine. Assez curieusement la plus flagrante n'est ni le remplacement des i sans point par des formules mathématiques, ni la disparition des hauts minarets chantant des louanges à Allah au profit d'églises blanches aux tuiles rouges. C'est surtout que les femmes ici sont présentes. Des gens croisés dans la rue, des commerçants, la moitié sont des femmes. Par rapport à la Turquie, on sent tout de suite que l'atmosphère est moins masculine. Et puis le mode vestimentaire est plus décontracté, jupes et tee-shirts pour les femmes, torse nu pour certains hommes. Même à 1500 km de la France, on se sent tout de suite un peu plus chez soi.

Autre différence avec la Turquie (et la Bulgarie), les prix. Habitués à manger pour 3€ on a été un peu surpris et déçus de payer 8€ notre repas. Enfin, apparemment les Allemands voulaient leur enlever les euros, donc ça fait toujours plaisir de leur en donner un peu.

Passage éclair en Grèce donc, direction la Bulgarie.


PS (de Thierry) : la Turquie paraîtrait déjà horriblement débauchée à bon nombre d'Iraniens ou de Pakistanais, mêmes remarques pour les différences de prix...Le plus à l'Ouest, le plus cher et le moins d'habits pour les femmes.